Le syndrome des ovaires polykystiques est la cause la plus fréquente de troubles du cycle, d’hyperandrogénie et d’infertilité féminine. Il toucherait environ 15% des femmes en âge de procréer en France. La simple évocation de ce syndrome est obscure pour certains et angoissant pour d’autres. En regardant cette vidéo, vous pourrez constater que les critères diagnostiques et les modalités de prise en charge sont désormais bien codifiés. Le syndrome des ovaires polykystiques ne doit être ni diabolisé, ni banalisé!

La réserve ovarienne diminue de manière physiologique avec l’âge. Cependant certaines femmes présentent une diminution prématurée de la réserve ovarienne avec au maximum un arrêt total du fonctionnement ovarien avant l’âge de 40 ans, appelé insuffisance ovarienne prématurée . Regarder cette émission vous permettra de connaitre les différentes causes d’altération de la réserve ovarienne et la démarche diagnostique à effectuer ainsi que de faire le point sur la prise en charge de ces patientes, qu’elles présentent ou non un désir de grossesse immédiat.

Le spermogramme demeure en 2023 un incontournable examen dans le cadre de la prise en charge des couples infertiles. Dans le cadre de cette émission, nous verrons les raisons qui nous amènent à réaliser cet examen, l’intérêt des différents paramètres analysés, comment la réalisation de cette analyse est en fondamental, à la bonne interprétation des paramètres. Puis nous verrons comment expliquer les valeurs aux patients, et comment aborder la prise en charge ultérieure et les approches thérapeutiques et/ou les examens complémentaires à réaliser.

L’homme est impliqué pour partie ou en totalité dans 50% des causes d’infertilité. Il est primordial de savoir identifier au plus tôt dans la prise en charge d’un couple ces infertilités masculines pour éviter toute perte de temps et optimiser les parcours. Cette émission s’attache à vous présenter comment dépister ces hommes, comment les prendre en charge et comment améliorer ce qui peut l’être en rappelant que notre mode de vie est directement lié à la qualité de notre reproduction, qu’elle soit spontanée ou médicalement assistée.